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Optimiste : chercher à l’être n’est pas (forcément) une bonne idée (surtout en temps troublé)

Pour être plus heureux, on peut vouloir être optimiste. Mais chercher à l’être à tout prix n’est pas une bonne idée. Surtout lorsque les temps sont difficiles. Et il ne s’agit pas d’être pessimiste, mais de tendre vers autre chose.

Être Optimiste

Optimiste : chercher à l’être n’est pas (forcément) une bonne idée (surtout en temps troublé)

Être Optimiste, c’est être confiant.

On peut donc croire qu’il faut être optimiste pour avoir confiance en soi.

Mais les deux ne sont pas liés.

Car être optimiste, ce n’est pas tant d’être confiant en soit qu’être confiant dans le futur.

Et plus généralement croire que ce que l’on souhaite va advenir.

Lorsque l’on est optimiste, on a tendance à voir le verre à moitié plein plutôt que le verre à moitié vide.

Et c’est une bonne chose… si l’on n’oublie pas totalement que l’autre moitié est vide.

Car c’est bien là le problème de l’optimisme à outrance.

S’attendre à ce que les choses se passent bien et ne pas passer son temps à stresser pour un oui pour un non, pour un futur qui n’est pas encore là, à angoisser pour tout ce qui pourrait mal se passer, ça aide dans la vie.

C’est la raison pour laquelle beaucoup de personnes qui ne sont pas naturellement optimistes peuvent chercher à l’être.

Le problème est de tomber dans l’optimisme béat.


 

Optimisme à tout prix : le problème

L’optimisme et uniquement l’optimisme d’avoir réellement la croyance que tout va se dérouler pour le mieux dans le meilleur des mondes peut faire envie.

Mais ce n’est pas la solution.

Car vouloir être optimiste à tout prix peut vous rendre encore plus malheureux.

Comment ?

Repensez au verre à moitié plein et à moitié vide.

L’optimisme et rien que l’optimisme écarte une large part de la réalité.

Si la réalité est propre à chacun, elle n’est de toute façon pas toute blanche ou toute noir.

Elle représente un équilibre des deux, penchant parfois plus d’un côté. Et parfois plus de l’autre.

Chercher à être optimiste à tout prix est comme vouloir être positif à tout instant.

Ce n’est pas facile, déjà.
Et ce n’est surtout pas souhaitable.

Dans son livre « De la performance à l’excellence », Jim Collins relate l’histoire du Capitaine américain James Stockdale, capturé au Vietnam pendant la guerre.

Ce dernier confie qu’un certain type de personne avait le plus de difficulté à supporter l’emprisonnement : les optimistes.

Cela peut paraître surprenant.

Mais Stockdale explique que les optimistes croyaient fermement qu’ils allaient être libérés au prochain Noël. Et Noël passé, alors qu’ils étaient toujours prisonniers, les optimistes se mettaient à croire qu’ils seraient libérés à Pâques, puis à Thanksgiving, etc.

Ils croyaient fermement à chaque fois à une date précise de libération.

Résultat, les optimistes étaient ceux qui tenaient beaucoup moins le coup que les autres.

  • En temps troublé, lorsque vous traversez des moments difficiles, être à tout prix optimiste n’est donc pas forcément bénéfique

Au contraire.

Pourquoi être optimiste peut rendre malheureux

Mais pourquoi ?

Parce que comme les prisonniers qui avaient un fort optimisme, être optimiste à outrance cause forcément de la déception.

À chaque fois que l’on est optimiste pour un truc et que cela ne se passe pas comme prévu, cela peut mettre un coup au moral.

Et si vous allez de déception en déception à cause d’un trop fort optimisme, cela peut vraiment vous rendre malheureux.

Je ne vous dis absolument pas d’être pessimiste.

Mais il faut considérer le verre dans son ensemble, pas seulement la moitié pleine en occultant le fait que la moitié vide existe.

Il vaut mieux voir le verre à moitié plein et considérer surtout celui là… sans pour autant faire abstraction, oublier et ne pas prendre en compte la moitié vide.

Forcément qu’il y a des choses qui ne vont pas se dérouler aussi merveilleusement bien que vous l’espérez dans la vie.

Parce que tout n’est pas en votre contrôle. Et il faut donc savoir lâcher prise, par exemple grâce à la technique des 4 ZI.

En plus : vous avez beau vouloir être parfait sans effort… est-ce réellement atteignable ?

Lorsque vous êtes trop optimiste, vous tombez alors dans le piège de l’espoir pervers qui diminue votre estime et donc votre bonheur.

Optimiste réaliste

Oui dans la vie, il vaut mieux voir le verre à moitié plein et considérer surtout celui là… sans pour autant faire abstraction, oublier et ne pas prendre en compte la moitié vide.

Autrement dit :

  • Être un optimiste réaliste

C’est-à-dire quelqu’un qui va chercher à voir le bon côté des choses, sans occulter pour autant les mauvaises.

Par exemple en temps troublé, lorsqu’il y a une crise, un optimiste réaliste va « se préparer au pire en espérant le meilleur ».

Il va agir et poser des actes « pour le cas où » parce qu’il y a une probabilité significative que les choses ne se déroulent pas au mieux, tout en ayant l’espoir que les choses tourneront bien au final.

L’optimiste réaliste va faire en sorte de s’offrir une certaine tranquillité d’esprit.
Il espère que ça ira, mais garde à l’esprit que ça pourrait ne pas être le cas et donc agit en conséquence du mieux qu’il peut.
Mais sans tomber dans l’excès de pessimisme qui amènerait à vouloir parer toute éventualité, même lorsque la probabilité qu’une chose pas cool arrive est minime.

Le fait que cela tourne mal reste dans un coin de la tête de l’optimiste réaliste qui fait de son mieux pour rester zen malgré tout. Et confiant dans le fait qu’au final, même si des épreuves difficiles l’attendent peut-être, il s’en sortira.

Face à l’incertitude, l’optimiste réaliste se focalise le moins possible sur une date ou une période précise pour ne pas risquer de sombrer si la difficulté est encore là alors que l’échéance est dépassée.

Comment adopter l’optimisme réaliste

Donc pour ne pas tomber dans l’optimisme pervers et pencher plutôt du côté de l’optimisme réaliste vous pouvez :

Et vous, qu’en pensez-vous ? Êtes-vous plutôt pessimiste, optimiste, ni l’un ni l’autre ? Que pouvez-vous changer pour devenir une optimiste réaliste ? Partagez dans les commentaires ci-dessous 🙂

On peut vouloir être optimiste car l’optimisme apporte plus de bonheur que le pessimisme. Mais seulement si l’on ne tombe pas dans le piège de l’optimisme à tout prix qui peut vous plomber le moral et vous rendre plus malheureux.
Une approche intéressante est celle de l’optimiste réaliste qui focalise sur le verre à moitié plein en n’oubliant pas que l’autre moitié est vide. Qui va espérer le meilleur, en se préparant tout de même « au pire », au cas où. Et qui s’affirme, exerce son esprit critique et privilégie les faits plutôt que leurs interprétations

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