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Donnez-vous la permission

Se donner la permission représente une clé importante pour notre bien-être.
Car dans la vie nous avons tendance à nous mettre tout un tas de barrières qui peuvent nous limiter, nous pourrir la vie, nous empêcher d’être heureux.

Attendez-vous la permission ?

Donnez-vous la permission

Faisons appel au dictionnaire Larousse pour y voir plus clair sur la « permission »
Il en donne la définition suivante :

Action de permettre, acte par lequel on permet à quelqu’un de faire ce qu’il a demandé. Ex : Solliciter une permission

D’après la définition, une permission est demandée ou sollicitée auprès d’un autre.

On lui soumet alors notre requête pour qu’il nous donne l’autorisation de faire quelque chose.

Mais c’est qui cet autre ? Ce « il » ?

Vous allez peut-être me dire On s’en fiche, je suis assez âgé pour ne pas avoir besoin de demander la permission !

Oui c’est vrai.
Si l’on fait exception de certains cadres, comme celui du travail où vous pouvez avoir à demander la permission de faire telle ou telle chose, ou tout simplement de poser vos congés à un moment qui vous convient.

Ou bien dans le domaine légal au sens large, comme demander une permission pour pouvoir conduire (donc cela passe par un examen et l’obtention du permis) ou faire construire une maison.

Mais au-delà de ce genre de trucs, oui, logiquement vous n’avez pas à « demander la permission ». Du moins, vous ne devriez pas.

Cela dit, est-ce que vous ne demandez pas parfois la permission ?
De façon plus ou moins détournée ?

Posez-vous la question.

Est-ce que vous n’attendez pas après un ou plusieurs autres pour qu’ils vous donnent leur assentiment ?

Et cela, sans forcément poser explicitement la question ?
Inconsciemment ?

En réalité, c’est le cas de nombre d’entre nous.
Alors même qu’on ne s’en rend pas compte.

On attend qu’on nous donne la permission


 

La permission… de qui ?

Il s’avère que de façon souvent inconsciente, nous avons tendance à demander implicitement la permission.

Ou plutôt, à l’attendre.

C’est-à-dire que « on » nous donne la permission de faire ceci ou cela.
Que ce « on » prenne les devants pour nous dire « vas-y, tu peux… »

Sauf que ce « on », c’est qui ?

Cela peut être une personne précise oui des fois.
Mais souvent non.
« On » ne sait pas qui devrait se pointer et nous dire « ça tu peux ».

Cela parait ridicule.

Et pourtant, c’est ce que l’on fait, ou plutôt, ce que l’on attend.
Sans nous en rendre compte.

Prenons le temps d’y réfléchir un peu.
Si on attend que « on » nous donne la permission de X ou Y.

Cela veut dire qu’on ne se sent pas autorisé à faire X ou Y.
Pourquoi ?

Qui nous a dit qu’on ne pouvait pas faire X ou Y ?

Oui, je vous le demande : Qui ?

Parfois, c’est Papa et Maman ou les adultes de notre clan.
C’est essentiel de donner des règles, un cadre à un enfant.

Sauf que cet enfant, il grandit.
Il arrive à un moment donné l’âge de maturité cet enfant (OK, c’est plus ou moins tard selon certains).

Donc ce cadre ne devrait plus exister.
Parce qu’on n’a plus besoin de la permission des parents pour faire telle ou telle chose.
En théorie.

Car en pratique, certains d’entre nous peuvent rester à attendre, plus ou moins consciemment, l’approbation de notre clan de départ avant d’agir.
Et ses représentants les plus importants sont souvent les parents.

Cadre imposé

Et cela parce qu’on a toujours cette partie instinctive en nous qui remonte à… pffiou, super loin dans l’arbre généalogique, à l’homme préhistorique quoi.
Cette partie qui nous dit que sans notre clan, on est foutu, attaqué, mort.

Donc on peut avoir tendance à attendre la permission des parents.

De qui d’autre ensuite attendons-nous bien sagement la permission ?

Eh bien, cela dépend de notre vécu.
De ce fait, cela peut être très variable d’un individu à l’autre.

Mais pour la majorité d’entre nous, on attend aussi la permission de notre « super clan ».
Vous voyez de quoi je parle ?

La société.

Oui, cette société qui jette un regard féroce sur nous.
Qui nous juge en permanence.
Durement.

Cette société dans laquelle on doit s’intégrer.
C’est-à-dire faire tout comme il faut.
Comme ça, on est bien, tranquille.

En tous les cas, c’est ce que le cerveau de nombre d’entre nous a capté.
Assimilé.

Et pourtant…
Pourtant combien d’entre nous souffrons de cela ?
De ce cadre imposé de la société ?

Cadre imposé… vraiment ?
Hummmmm.

Mais qui nous a imposé ce cadre ?
Notre propre clan il y a de fortes chances. Au moins en partie.
Car il se compose de personnes à qui l’on a aussi appris que faire tout comme il faut au regard de ce que la société attend de nous, c’est bien.
C’est ça qu’il faut faire.

Qui d’autre ?

Croyances, vous avez dit croyances ?

Nos croyances.
Oui nos croyances.

Peut-être que vous ne voyez pas de quoi je parle.
Hop, on fait appel au Larousse pour qui une croyance c’est le :

Fait de croire à l’existence de quelqu’un ou de quelque chose, à la vérité d’une doctrine, d’une thèse ;
Ce qu’on croit ; opinion professée en matière religieuse, philosophique, politique

Autrement dit, tout ce que l’on pense être vrai est une croyance.
Et cela, que ce truc soit vrai, réel… ou pas.

Peu importe.
La croyance elle est rebelle.

Elle se fiche de savoir si ce qu’elle croit est vrai. Si c’est réel.
Pas d’importance.

C’est un peu comme si chacun d’entre nous avait un manuel de la vie avec écrit dedans tout ce qui est vrai… pour nous.
Un répertoire de croyances en somme sur lequel on s’appuie pour parcourir notre existence.

Et bien sûr, il est unique.
Propre à chacun.

Évidemment, certaines des croyances qu’il contient sont bel et bien vraies, réelles.
D’autres moins (ou pas du tout).
Il y a aussi des croyances qui nous aident dans la vie.
D’autres non.

En fait, ce sont ces dernières qui nous pourrissent la vie.
Aussi connues sous le terme croyances limitantes.

Tout simplement parce qu’elles nous limitent dans tout un tas d’aspects dans notre vie.

Par exemple, une croyance limitante classique peut être que « les riches sont tous des cons » ou bien « l’argent c’est mal ».
De ce fait, on aura tendance à éviter d’avoir (trop) d’argent.
Parce qu’au fond de nous, on se dit que si l’on « trop » d’argent, on sera con, pas quelqu’un de bien.

Le pire c’est que c’est ancré profondément en nous, à un niveau émotionnel et parfois inconscient.

Barrières invisibles

Par un processus intellectuel, on peut tout à fait penser une chose, avec la raison donc.
Et en ressentir une autre malgré tout.
Le truc, c’est que c’est ça qui nous dirige si on n’y prend pas garde.

Pour reprendre l’exemple de l’argent.
On peut intellectuellement tout à fait convenir que ce n’est pas parce que « on a de l’argent » qu’on est con ou pas comme il faut.
Et pourtant avoir au plus profond de nous la croyance que « l’argent, c’est pas bien ».

Les croyances, c’est comme le parc pour un bébé.

On le met dedans pour qu’il soit protégé.
Pour qu’il évolue dans son parc, pas plus loin.
Même s’il y a des choses qu’il pourrait tout à fait réaliser sans danger en-dehors du parc.
Des trucs super cools des fois.

Et adulte, c’est un peu pareil, sauf que ça saute moins aux yeux.

Les croyances sont comme des barrières invisibles que l’on se met à nous même.

Et quand elles sont limitantes, ça se retourne contre nous !

Bébé, il est cloitré dans son parc.
Et il ne peut rien y faire.
Il n’a pas eu le choix.
On lui a imposé le parc.
On a délimité son périmètre, son champ d’action, de vision.

Mais nous, ça fait un moment qu’on est sorti de notre parc !
(Enfin, normalement ^^).

Malgré tout, les croyances limitantes que l’on a, c’est comme notre parc d’adulte à nous.
Sauf qu’on le voit pas.

On peut juste sentir ses effets (néfastes) pour nous.

En fait, on s’interdit nous-même plein de trucs du coup.

On se cantonne nous-même à notre parc qu’on a délimité.
Souvent inconsciemment (oui, encore une fois).

Car nos croyances limitantes, on ne les a pas choisies !

Une histoire de choix ?

Ce serait trop simple si on pouvait choisir nos croyances limitantes.
On n’en aurait aucune !

Les croyances se construisent tout au long de notre vie.
Particulièrement dans notre enfance.
(À l’insu de notre plein gré ?)

C’est souvent parce qu’on a entendu l’argent être associé à des termes négatifs que notre cerveau a fait le raccourci argent = pas bien !

Ou qu’on a eu de mauvaises expériences à ce sujet.
Genre, on a l’impression que tout se passe bien et puis pof les parents gagnent une belle somme au loto, ça entraine tout un tas de disputes qui n’avaient pas cours avant.
Du coup, le cerveau enregistre argent = disputes.
Et comme on n’aime pas ça les disputes (généralement), que ça nous a blessé, ben on évite l’argent.

Le pire dans cette histoire, c’est qu’il arrive fréquemment qu’on n’a pas conscience de (certaines de) nos croyances limitantes. Et puis, on ne sait pas comment ça se fait qu’elles se retrouvent dans notre livre personnel de la vie.

Comment faire alors ?

Pas évident.
Le principe cela dit, c’est de challenger vos croyances pour briser vos barrières invisibles.

Autrement dit, ce que vous pensez qui est vrai.
Et que vous estimez vous desservir dans la vie.
Ces croyances-là sont accessibles à votre conscient.

Donnez-vous la permission

Pour ébrécher les barrières, les briser, les mettre à terre : donnez-vous la permission.

Accordez-vous le droit de franchir les barrières.

Bien sûr, je ne vous dis pas de faire des trucs hors la loi ou dangereux.
Il y a plein de barrières qu’on s’est mis tout seul, qui nous pourrissent la vie et n’entrent pas dans ce cadre-là.

Comme la croyance limitante qui dit que si on organise un diner entre amis, il faut nécessairement avoir un apéritif, 3 entrées, 1 plat principal, de la salade, du fromage, un dessert… au minimum
Alors que les amis pourraient être très contents de pizzas commandées au petit resto du coin.

On peut aussi trouver une de nos barrières parfois dissimulée dans… nos critiques !
Dans les cas où on a tendance à critiquer/juger une personne avec en gros comme message « c’est pas bien » alors qu’on fond de nous, on aimerait bien faire pareil !
Si l’autre le fait, que ça vous fait envie, que ça ne vous met pas vous (ou une autre personne) en danger, pourquoi ne pas tester ?

Par exemple « ah, pfff regardes ils sortent le jeudi soir au restaurant alors que le vendredi ils travaillent, c’est pas sérieux ».
Est-ce que ce ne serait pas une barrière invisible chez vous ?
Une croyance limitante qui dit que vous devez rester bien sage et ne pas sortir de chez vous en semaine ? (hors travail et tâches du quotidien)
Pourquoi ne pas tester au moins une fois d’aller au restaurant un soir de semaine ?

La permission… de quoi ?

Donnez-vous la permission de tester, d’expérimenter… de vivre !
Il n’y a que VOUS qui pouvez le faire.

Si vous voyez que d’autres personnes font un truc, que ça vous fait envie au fond de vous et que cela ne heurte pas vos valeurs, pourquoi ne pas tester ?

Il y a plein de trucs qu’on ne s’autorise pas dans la vie.

Parce qu’on se met nous-même des barrières invisibles sans nous en rendre compte.

Tout ça à cause de la section « croyances limitantes » de notre livre de la vie personnel.
Tout ça parce qu’on n’ose pas à cause du regard des autres.
De notre clan de « base », de la société.

Et ça peut nous pourrir la vie tellement on se sent à l’étroit dans notre parc d’idées préconçues.

Dites-vous bien que les croyances, comme tous vos paramètres, sont personnelles.
C’est tout un tas de trucs qui fait que vous êtes unique.

Rendez-vous compte que votre réalité n’est pas forcément celle des autres.
(À ce sujet, je vous conseille de faire un tour sur cet article si vous ne l’avez pas déjà lu).

Accordez-vous le droit à vivre VOTRE vie !

Vous n’êtes pas là sur Terre dans l’unique but de plaire aux autres et de faire tout comme il faut.

Vous ne pouvez pas faire et être tout comme il faut.
C’est impossible !
Vous ne trouverez pas un sujet sur lequel l’ensemble des humains est d’accord.
Vous ne pouvez pas plaire à tout le monde.

Donnez-vous la permission :

  • d’être heureux. Même si on vous a fait comprendre que vous ne le méritez pas. Même si vous pensez ne pas le mériter. Tout le monde mérite d’être heureux.
  • de vous émerveiller. On possède ce don enfant de nous émerveiller de tout et rien comme on dit. Retrouvez cela. Comme de vous émerveiller devant une fleur, un rayon de soleil sur un vase, le sourire de votre enfant…
  • d’être en joie. C’est dingue, on dirait que pour être bien, il ne faut pas exprimer sa joie ! Il faut la réprimer, râler, pester, ne pas être content pour un oui ou un non. Si vous êtes content d’un truc, heureux, même un petit peu : accordez-vous le droit d’exprimer votre joie pour ça.
  • d’exprimer vos émotions. La joie en fait partie. Les émotions positives bien sûr, et aussi les négatives. Ce n’est pas bon de garder la colère, le chagrin, la peur en nous. Mieux vaut l’exprimer.
  • d’être vous, dans toute votre richesse et entièreté. Tout simplement. C’est ce qui vous permettra d’être le plus heureux possible. On peut croire qu’on ne peut pas être nous. Car sinon, on risque fort d’être rejeté. C’est typiquement une croyance limitante. Oui, on ne plaira pas à tout le monde mais de toute façon, on ne plait déjà pas à tout le monde non ? Et puis, on gagne à attirer les personnes qui nous correspondent mieux.

Pensez-vous avoir des barrières invisibles ?
Quelles sont-elles ? Dites-le moi dans les commentaires 🙂

Parfois dans la vie, on peut inconsciemment attendre qu’on ne sait qui nous donne la permission. Notamment de vivre, d’être nous. Pourtant, il n’y a qu’une seule personne qui puisse nous donner la permission : nous. Prendre conscience de cela est un 1er pas, un 2ème étant de tester, d’expérimenter, de challenger nos croyances limitantes afin de nous libérer de nos barrières invisibles

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15 Comments

  1. yveline

    Là je ne sais quoi mettre en commentaire – je crois qu’il faut que je relise au calme ce texte

  2. Marine

    @yveline : Bonjour, tu peux relire l’article autant de fois que tu le souhaites bien sûr 🙂

  3. Anthony Mykytiw

    Salut Marine,
    Je vais appliquer ce que tu dis immédiatement et ne pas te demander la permission pour te laisser ce commentaire, en te disant tout d’abord, que j’ai beaucoup aimé cet article (comme toujours en fait ;)).
    Arrêtons de toujours demander la permission ou demander l’approbation des autres, faire ceci ce n’est pas assumer la responsabilité de sa vie qui est pourtant la base d’une vie épanouie !
    De toute façon ma devise est la suivante : Tirez puis visez.
    Oui je préfère agir et m’excuser par la suite plutôt que demander la permission pour au final ne rien faire… 😉

  4. Marine

    @anthony-mykytiw : Salut,
    haha, effectivement tu n’as pas à me demander la permission pour poster un commentaire ici ^^.

    « Arrêtons de toujours demander la permission ou demander l’approbation des autres »
    Oui et en même temps, ne pas s’enfermer car demander l’avis des autres peut être utile, il faut savoir faire la distinction entre les deux, demander la permission/ demander l’avis car parfois on croit demander l’avis alors qu’au fond ce que l’on attend c’est la permission (et l’avis de l’autre n’est pas un ordre).

    « ma devise est la suivante : Tirez puis visez »
    ah oui carrément ^^. Je préfère réfléchir que d’agir sur l’impulsion, mais j’ai bien progressé niveau « perfectionnisme ».
    « Oui je préfère agir et m’excuser par la suite plutôt que demander la permission pour au final ne rien faire… »
    Complètement d’accord « better seek forgiveness than ask permission ».
    D’une certaine façon, on le sent la plupart du temps au fond de nous que si un truc nous dit bien, il vaut mieux le faire/suivre son instinct plutôt que de demander l’avis/permission d’autres personnes qui pourraient nous freiner car après tout, c’est notre vie (du moment bien sûr que cela se fait dans le respect de l’autre).

    Comme pour beaucoup de choses dans la vie, c’est à chacun de trouver l’équilibre qui lui convient, tout en gardant à l’esprit que de toute façon, on ne peut plaire à tout le monde (dont ce que l’on fait).

    merci pour ton commentaire 🙂
    @+

  5. Julien LB

    Salut Marine,
    ton @ m’a fait perdre mon précédent commentaire (je suis sur mac)

    Merci pour tes lignes, c’est cool.
    Ma barrière actuelle: le besoin d’être perçu comme fiable. Souvent cela m’aide et en ce moment cela m’entrave car je dois renoncer à une situation où les gens ont pas mal d’attentes par rapport à moi.

    Comme @yveline je vais relire ton texte 😉

    J.

    PS: le son n’est pas assez fort sur ta vidéo.

    • Marine

      @julien-lb : Salut Julien, merci pour ton commentaire 🙂

      c’est cool déjà que tu ais conscience de cette barrière d’être perçu comme fiable, en même temps c’est comme beaucoup de qualités, ça a ses avantages et ses inconvénients.
      Le truc c’est de savoir :
      > si tu tiens vraiment à être fiable (et que tu en acceptes les contreparties)
      > si tu dois trouver un meilleur « équilibre dans la fiabilité » (ce n’est pas parce que les gens ont des attentes que tu ne combles pas que tu n’es pas fiable, tout dépend du contexte, de ce que tu entends par fiabilité; exemple idiot mais bon : t’es pas un chien qui doit venir à la course dès que n’importe qui le siffle)
      > ou si finalement tu préfères t’affranchir de la fiabilité (ne pas chercher à être fiable, ne plus l’avoir en valeur).

      On a tous nos barrières de toute façon et c’est intéressant ce point que tu soulignes sur le fait qu’une qualité (un truc) que l’on cherche à développer (souhaite mettre l’accent dessus) peut avoir ces revers. Il y a toujours un prix à payer, même si on ne le voit pas. Après on peut souvent trouver des ajustements, et là pour ta problématique : qu’est-ce que la fiabilité pour toi ? qu’est-ce que tu mets dedans ?

      @+

      PS : désolée pour le @ je ne sais pas d’où vient le souci, si t’as une idée ?
      Pour les vidéos ouais c’est un souci récurrent, je m’en rendais pas compte parce que je les entend bien moi (sous firefox ou opéra, y compris une fois intégrées)

  6. yveline

    @julien c’est vrai qu’il y a de quoi réfléchir sur tout ce texte – je n’ai pas encore pris le temps de m’y pencher car il y avait 2 Sommet cette semaine – j’ai déjà signalé la faiblesse du son à Marine alors je ne lis que le texte !

    • Marine

      @yveline : bonjour, aucun souci, prend le temps qu’il faut pour (re)lire l’article.

      effectivement encore des soucis de son sur les vidéos, désolée, ça devrait aller mieux d’ici quelques semaines… En attendant comme tu le dis, il y a l’article que l’on peut lire 😉

  7. Taha

    Super article qui nous fait prendre conscience des croyances qui peuvent être fortement ancrées en nous ! S’autoriser à vivre, à respirer, à se tromper sont des piliers importants pour notre épanouissement personnel. De plus, si l’on veut atteindre un certain niveau de succès, il est important de modifier nos croyances limitantes pour des croyances et réalités beaucoup plus utiles ! « Tout est possible » est un une citation très connû que s’il l’on intègre dans nos croyances nous rendra innarrêtable ! 😉

    • Marine

      Salut @taha,
      merci pour ton commentaire !
      Tu résumes bien, prendre conscience de nos croyances et pour les limitantes, les modifier afin de les transformer en croyances qui nous servent. Cela peut prendre u temps (pour les débusquer, les modifier) mais ça vaut le coup 😉
      @+

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