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De quel bois êtes-vous fait ? (qui l’on est se révèle en temps de crise)

De quel bois est-on fait ? Quel genre de personne sommes-nous ? C’est ce que l’on peut découvrir en temps de crise notamment. Mais cela correspond-il alors à ce que nous pensons de nous-même ?

Quel genre de bois, quel genre de personne

De quel bois êtes-vous fait ? (qui l’on est se révèle en temps de crise)

De quel bois êtes-vous fait ?

Êtes-vous comme l’arbre qui casse à la moindre pichenette, au moindre petit vent ?

Celui qui plie jusqu’à atteindre le sol et y reste, soumis ?
Ou qui plie petit à petit mais le moins possible jusqu’à retrouver, une fois la tempête passée, sa verticalité ?

Ou encore un bois solide, bien enraciné, qui subit les éléments avec courage, avec des branches touchant peut-être le sol de leur grandeur, mais qui résiste en conservant sa verticalité ?

De quel bois êtes-vous fait ?

À quoi dites-vous non ?

Posez-vous des limites ?

À partir de quel moment ?

Vos valeurs, ce qui est important pour vous, votre essentiel, la direction que vous souhaitez donner à votre vie… vous appuyez-vous dessus pour vous guider ?

De quel genre de bois êtes-vous fait ?

Il est beaucoup plus aisé de bien agir en temps de paix, quand tout va bien, qu’en temps de crise.

Parfois dans la vie, nous sommes confrontés à des challenges plus ou moins forts, à des moments difficiles.
Que ce soit au niveau individuel ou collectif.

Ces moments-là ne sont en général pas plaisants.

Mais ils recèlent en eux le pouvoir de nous révéler de quel bois on est réellement fait.

Ils nous font entrevoir ou nous révèlent de façon limpide quel genre de personne on est réellement.


 

Révélation en temps de crise

Êtes-vous comme l’arbre qui plie un minimum, juste le temps que l’orage passe, pour subir le moins de dégâts possible ? Tout en restant un maximum dans la verticalité de la nature de l’arbre et en protégeant les jeunes pousses en-dessous ?

Ou au contraire, à plier en complète soumission, laissant les jeunes pousses à la merci des éléments déchaînés ? Sachant que ces jeunes pousses vont en pâtir durement, et peut-être voir leur croissance perturbée ou pire, y laisser la vie ?
Et cela parce que ce genre d’arbre pense surtout à la gratification immédiate, et non au futur, moyen terme et encore moins aux futures générations ?

Ou êtes-vous le genre d’arbre qui cède facilement et fait son maximum pour préserver l’ego ? Car il enjoint les autres à céder également, à plier l’échine. Et appelle de ses vœux que la tempête gonfle uniquement pour que ceux qui ont le courage de résister, de plier le moins possible, cèdent eux aussi, pour que leur gros ego se sente mieux.

On ne peut espérer la crise, les problèmes, les souffrances.

Mais elles s’imposent parfois à nous.

On peut faire comme s’ils n’étaient pas là.
Céder à la facilité, suivre le courant sans trop se poser de questions, même s’il prend de plus en plus de la vitesse vers un précipice menant à l’abîme.

Et ainsi faire un maximum « comme avant », rester dans la « normalité » le temps qu’on le peut.
Comme si tout allait bien se passer et se résoudre par magie.
Comme si on allait être récompensé d’une servilité béate.

Pas tous égaux

Bien sûr, nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne.

Nous ne sommes pas tous égaux dans la vie.

Il y a les arbres qui sentent durement le vent dès qu’il pointe son nez.

Et qui doivent alors rapidement faire le choix de casser, renoncer à leur verticalité.
Plier le moins possible pour survivre, encaisser, protéger les jeunes pousses en conservant un maximum de verticalité.

Ou céder à faire corps avec la tempête, à l’aider dans son œuvre de destruction. Et à enjoindre les autres arbres à faire pareil pour ne pas briser l’idée fausse qu’ils avaient d’eux-même du bois qui était droit en corps comme en esprit.

Mais il y a aussi les bois opulents, qui sont bien à l’abri.

Les autres peuvent alors se demander « mais pourquoi ne faites-vous rien ? Pourquoi ne nous aidez-vous pas ? Pourquoi ne dites-vous rien ? »

Ces arbres opulents pourraient participer à protéger les nombreux autres bois de la tempête grâce à leur corpulence, grâce à leur voix qui porte.

Et certains le font.

Mais beaucoup aussi préfèrent se dire que ce n’est pas leur rôle.
Ils se dédouanent d’autant plus qu’ils sont persuadés qu’eux pourront être transplantés ailleurs au besoin si la tempête grogne trop et menace réellement de les affecter de près.

Et qui dans le même temps continuent d’espérer, d’exiger même, que les bois qui eux affrontent la tempête continuent à les célébrer. Et à les nourrir, à les engraisser par les multiples réseaux racinaires.

Le bois dont vous êtes fait

Le bois dont vous êtes fait n’est pas immuable.

Comme tout corps, il nécessite d’être alimenté.

Et de son alimentation physique et psychique dépend son futur.
Sa capacité à résister, à plier plus ou moins fortement, plus ou moins égoïstement, plus ou moins courageusement, à céder, à participer aux méfaits, ou encore à s’en laver les mains.

De quel bois êtes-vous fait ?

Quel genre de personne êtes-vous en temps de crise ?

À l’école je sais qu’après avoir été bassinée en cours d’histoire pendant des années avec des périodes comme la seconde guerre mondiale, on a pu se demander avec des camarades à quel camp on aurait appartenu.

Saviez-vous d’ailleurs que les personnes qualifiées alors de « terroristes » sont celles que l’on connaît nous (et depuis la fin de la guerre) sous le terme de « résistants » ?

Ce ne sont pas forcément ceux qui font les plus leur kéké et montent le plus sur leur grand chevaux en clamant de façon péremptoire que eux, bien sûr, ont l’âme d’un résistant qui l’auraient réellement été. Ou le seraient s’ils venaient à vivre une expérience du même ordre…

Comme le disait le philosophe irlandais Edmund Burke :

Pour triompher, le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien.

Mais on peut facilement croire que l’on n’est pas en mesure de faire quoi que ce soit à notre niveau en temps de crise.

Que seuls d’autres, par exemple plus « haut placés », le peuvent.

Action

Mais tout le monde a matière à agir dans la tempête.

On a toujours plus de choix qu’on ne le pense.

Il est possible d’être le bois qui se maintient le plus verticalement possible.
Qui ploie le minimum pour préserver un maximum à la fois son intégrité physique et morale. À la fois ses standards et les jeunes pousses qui dépendent de lui.

Dire non paraît un acte simple.

Alors que le « non » porte en lui une puissance insoupçonnée.
D’autant plus lorsqu’il est rejoint par d’autres non, même les plus petits qui soient.

Après tout, l’océan est fait de multiples gouttes d’eau.

Une simple goutte d’eau peut agacer.
Et la puissance de l’océan faire trembler et tomber les structures qui paraissaient les plus solides et immuables.

Dire non c’est au minimum se respecter.
Et c’est déjà beaucoup, en temps troublés
.

Vous pouvez trouver que la vie est méchante.
Et céder, y participer même, pour qu’elle soit un peu plus douce pour vous, durant un temps limité.

Mais vous pouvez aussi toujours décider, à tout moment, de mettre en œuvre votre sens critique.

De faire appel à votre bon sens.

Faire le choix d’adopter une attitude la plus conforme possible à ce qui est réellement important pour vous.

Même si ce n’est pas facile, on peut toujours trouver une petite action, un petite attitude qui maintient le bois un tant soit peut dans la verticalité.

Au final, même si c’est challeangeant et peut-être douloureux, c’est à vous de décider de quel bois vous êtes fait.

Et ce sont surtout vos actions au quotidien – particulièrement en temps de crise – qui exprimeront réellement de quel bois vous êtes fait. Qui révéleront quel type de personne vous êtes.
Beaucoup plus que, en temps apaisé, vos paroles et discours sur d’hypothétiques actions en temps troublés.

Et vous, de quel bois êtes-vous fait ? Êtes-vous le genre à casser ou céder rapidement, à plier plus ou moins, à faire de votre mieux pour conserver votre verticalité et l’intégrité des jeunes pousses, ou à vous laver les mains du sort de la majorité de la forêt ? Partagez vos exemples et expériences dans les commentaires ci-dessous 🙂

Par temps calme et doux, il est beaucoup facile de dire de quel bois on est fait. De croire que l’on serait du côté du juste, que l’on conserverait un maximum notre verticalité.
Mais les temps de crise, s’ils sont désagréables, ont le mérite de nous révéler à nous-même (et au monde) de quel bois on est réellement fait. Et alors, on peut découvrir que l’on n’est pas le bois qu’on pensait. Aveuglés par l’ego, beaucoup préfèrent se voiler la face, et peuvent enjoindre d’autres à céder, à collaborer, à nuire.
Mais au final, peu importe votre poids dans la société, votre place dans la forêt. Vous avez toujours un moyen d’exercer votre choix. De vous conformer du mieux possible à vos valeurs, de rester un maximum dans votre verticalité, même si cela implique de plier un peu durant un laps de temps, notamment pour préserver de jeunes pousses.
Le simple fait de dire non à l’injuste, à l’iniquité, à ce qui est contraire à vos valeurs profondes exprime déjà en soi de quel bois vous êtes fait. Les actes qui peuvent paraissent les plus petits et insignifiants comme le simple « non » peuvent avoir une portée puissante.

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