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Surconsommation, nuisance pour votre vie, votre bonheur

L’activité principale et majeure de beaucoup est la consommation. Elle conditionne notre façon d’être et notre perception. Mais le problème intervient lorsque l’on tombe dans la surconsommation.

Consommation

Surconsommation, nuisance pour votre vie, votre bonheur

Que fait-on de la plupart de nos journées ?

À quelle activité principale s’adonne-t-on ?

Eh bien force est de constater que pour la majeure partie d’entre nous, si l’on fait exception du sommeil, il s’agit de la consommation.

Le dictionnaire Larousse la définit ainsi :

Action de consommer un aliment, une boisson ;
Somme de biens et services fournis à titre onéreux ou gratuit aux consommateurs ;

Même si bien sûr on fait autre chose dans notre quotidien, finalement on se rend compte que l’on passe beaucoup de temps à consommer.

Par exemple, on consomme de l’électricité via l’utilisation de la lumière, du chauffage et plus généralement de l’utilisation de nos appareils électriques.

On consomme de l’eau aussi, pour boire, se laver, nettoyer, ainsi que des aliments pour se nourrir.

Difficile de faire autrement.

Vouloir ne plus consommer quoi que ce soit est utopique.

En tant qu’être vivant, nous nous devons de consommer pour fonctionner, pour vivre.

Mais on consomme aussi de plus en plus d’une façon telle que les générations précédentes n’ont pas connues, et qui va en s’amplifiant.

Pourquoi ?

Parce que notre société repose sur un principe de consommation.

Et même de surconsommation.

Pourquoi j’évoque ce sujet ?

Qu’est-ce que cela à avoir avec l’estime de soi, le fait de vivre une vie dans laquelle on se sent bien ?

Beaucoup de choses en réalité.

Se sentir bien dans sa peau, dans sa vie, cela passe par se connaitre, questionner, explorer.

Comme l’on vit dans une société de surconsommation, ce mode impacte inévitablement notre vie et notre façon de la vivre.

Mais est-ce que cela nous convient réellement ?

Est-ce que cela contribue à notre bien-être, à notre bonheur ?


 

Surconsommation de biens

La consommation n’est pas uniforme.

On l’a vu, il y a d’abord la consommation nécessaire à notre survie : boire, se nourrir et avoir de quoi se loger, ce qui peut impliquer de consommer un bien : c’est le cas lorsque l’on est locataire.
On paye à un autre un bien qu’il possède pour avoir le droit de se loger.
Et quand on est propriétaire, on a payé le logement ou on est en train de le payer (à travers un prêt).

Il y a aussi la consommation afférente au logement, comme l’eau et l’électricité (il ne s’agit pas ici de rentrer en profondeur dans la problématique du mal-logement, des problèmes d’accès aux ressources nécessaires à la vie, etc. ).

Ensuite, il y a la consommation de tout un tas de biens d’équipement que l’on va acheter dans le but de les utiliser (ce que l’on fera ensuite ou non).

On nous pousse fortement à acheter de plus en plus de biens.

Et à renouveler ces biens alors qu’ils fonctionnent toujours où qu’ils sont encore en bon état d’être utilisés.

C’est le cas par exemple des vêtements ou appareils électroniques.

Ils peuvent toujours être en état d’être portés ou utilisés.

Surconsommation et estime

Mais la mode fait que l’on va en acheter de nouveaux alors que l’on en a objectivement assez pour se vêtir.

Mais la peur d’être à la traîne, de ne plus ou pas « faire partie du groupe de ceux qui ont » nous incite à acquérir la dernière version, celle avec le maximum de fonctionnalités.

Et puis y a bien sûr les nouveautés dont l’on nous dit qu’elles sont indispensables à avoir et qui sont tellement mieux que ce que l’on pouvait faire jusqu’à présent.

Comment a-t-on pu vivre avant sans ? On se le demande…

Alors, on a envie de ces choses qui peuvent nous être effectivement très utiles.

Mais pour certains achats, cela peut être dû au conditionnement de notre société incitant à la consommation, mais aussi la preuve que l’on ne se connait pas assez et que l’estime que l’on a de nous-même est trop basse.

Parce que lorsque votre estime est mauvaise, vous voulez tellement être accepté par les autres que vous allez faire tout votre possible, consciemment ou non, pour « faire comme tout le monde », pour vous rendre intéressant, pour masquer votre peur d’être rejeté.

Vous avez l’impression qu’acquérir tel ou tel nouveau bien vous rend plus confiant, mais c’est un leurre.

La confiance en soi peut certes être aidée par des facteurs extérieurs, mais elle vient avant tout de l’intérieur de vous.

Vouloir l’obtenir par l’achat d’objets ne fait simplement que masquer un temps ce manque de confiance en vous.

Cette peur que les autres vous rejettent parce que vous n’avez pas tel ou tel objet.

Et votre mental crève d’envie d’appartenir au groupe de ceux que vous percevaient comme « gagnants », alors vous faites votre possible pour acheter comme eux.

Tout ça parce que vous avez une tellement piètre estime de vous-même que vous ne vous connaissez pas ou que vous passez outre parce que c’est bien plus important pour vous d’obtenir la reconnaissance des autres que de vous respecter.

Surconsommation de contenu

Bien évidemment, le problème que la surconsommation peut avoir sur votre vie ne se limite pas aux biens.

Elle touche aussi le contenu.

Ah, le contenu : vous êtes en train d’en consommer en ce moment-même en lisant ces lignes !

Et c’est OK, je ne vais pas vous dire le contraire 😉

Consulter du contenu, se confronter à des connaissances, des idées, et ce de façon régulière, est indispensable selon moi pour apprendre à se connaitre de mieux en mieux.

Pour forger son opinion, sa pensée, ses goûts.

Pour se diriger vers ce que l’on veut et tendre vers le changement que l’on souhaite, vers l’avenir que l’on veut pour soi.

L’apparition et la démocratisation des livres a fait beaucoup en ce sens.
Tout comme Internet.

Le problème est qu’on peut vite tomber dans la consommation de tout et n’importe quoi et donc la surconsommation de contenu.

Et je ne parle pas de nourriture, bien que l’on puisse tomber dans des excès là aussi.

Mais de tout ce qui est connaissance, pensée, divertissement.

Est-ce que cela vous arrive de vous rendre compte que vous consultez, regardez, écoutez des trucs qui, lorsque vous y pensez, ne vous apportent pas grand chose, rien, voire carrément vous nuisent ?

Moi je sais que ça m’arrive encore, je suis conditionnée par la société dans laquelle je vis tout comme vous sans doute qui me lisez, et je m’applique à faire de mon mieux pour m’en rendre compte de plus en plus rapidement pour utiliser mon temps d’une meilleure façon.

Car le temps que l’on a à disposition est précieux et le temps présent a un impact important sur notre futur.

Oui c’est bien de se divertir, on en a besoin pour décompresser.

Mais on peut le faire de façon plus ou moins pertinente pour nous, pour la vie que l’on désire.

Vaut-il mieux consulter du contenu qui nous apprend de nouvelles choses que l’on pourra utiliser dans notre vie ?

Ou bien du contenu qui nous pousse à la haine des autres, à nous comparer en notre défaveur ou tout simplement qui n’élargit pas notre horizon ?

Surconsommation de services

Nous sommes également dans une société où la consommation de services croit indubitablement.

D’ailleurs, il y a souvent un transfert de la consommation de biens vers la consommation de services.

Et c’est vu d’une bonne façon par ceux qui ne souhaitent pas s’encombrer par exemple.

Le problème est que d’une façon ou d’une autre, le service, on le paye.

On le paye avec notre argent, nos données personnelles, notre temps, notre attention, bref, avec l’une ou l’autre ou plusieurs des ressources que nous avons à notre disposition.

Les services, ça peut être super et vraiment nous être utile, améliorer notre vie et rémunérer durablement le ou les auteurs de ces services pour les services rendus justement.

Beaucoup d’entreprises se tournent d’ailleurs vers la commercialisation de services parce que cela apporte des revenus récurrents.

Et cela peut être top encore une fois, notamment pour profiter de la dernière version, des dernières nouveautés, etc.

Pour moins s’encombrer.

Par exemple, nombreux sont ceux qui prennent le parti de ne plus s’encombrer d’une chaîne hi-fi et de CD en pagaille au profit d’un appareil beaucoup plus petit (ou qui a un autre usage principal, comme un Smartphone) et d’un abonnement auprès d’un service de musique en ligne.
Idem pour les vidéos ou les appareils d’électroménagers.

Sauf que ça peut poser souci dans certains cas : imaginez, vous louez votre réfrigérateur, il y a un service réparation inclus dedans, et puis vous pouvez opter tous les x mois pour un modèle plus perfectionné.

L’avantage est que la somme que vous déboursez chaque mois est forcément moindre que ce que vous avez à sortir de votre poche pour vous acheter un nouveau réfrigérateur parce que l’ancien est mort.

L’inconvénient est que si vous n’êtes plus en mesure de payer le service : vous n’avez plus de réfrigérateur. Même si la somme que vous avez déboursé au fil des mois, des ans, vous aurez permis d’en avoir un à vous.

Idem pour de nombreux services : pour beaucoup, vous ne possédez pas le contenu qu’ils vous offrent. Tout va pour le mieux (passons les soucis divers et variés) tant que vous êtes en mesure de payer tous les mois, mais dans le cas contraire ?

Il y a aussi des tonnes de services auxquels vous pouvez souscrire qui au final ne vous apportent pas grand-chose, rien, voire qui vous pourrissent la vie.

Surconsommation : le problème

Le problème n’est pas tant la consommation que la surconsommation.

Encore une fois, ce n’est pas mauvais de consommer, que ce soit des biens, du contenu, des services.

Le problème survient lorsque l’on consomme trop par rapport à nos besoins.

En fait comme beaucoup de choses dans la vie, tout est une question d’équilibre.

Et cet équilibre est propre à chacun et évolue à de nombreuses reprises au cours de notre existence en fonction de nos paramètres de vie du moment.

Vous n’allez pas avoir un réel besoin de mêmes biens ou services si vous êtes célibataire et vivez seul, ou si vous êtes en couple avec 6 enfants !

Il y a bien sûr le problème évident que la surconsommation fait peser sur l’environnement.

Et puis, l’impact considérable que peut avoir la surconsommation sur vos finances personnelles.

Certains sont tellement englués dans la surconsommation, avec une piètre estime d’eux-mêmes, qu’ils en viennent à expérimenter régulièrement des problèmes d’argent ce qui leur causent de gros soucis (si vous souhaitez mieux gérer votre argent pour être moins stressé, allez lire cet article 😉 ).

Notons aussi les problèmes de temps que cela implique : on consomme tellement, trop, ce qui implique l’on doit avoir les ressources nécessaires pour consommer à ce point.

Que ce soit en matière d’argent, de capacités physiques, de temps.

Manquer de temps est l’un des maux les plus prégnants pour ceux vivant dans une société de surconsommation. On nous pousse à consommer tellement de biens, de services, de contenus que l’on n’a pas le temps de faire tout ce que l’on voudrait.

Surtout, on n’a pas assez de temps, pas autant de temps que l’on voudrait à consacrer à ce qui est réellement important pour nous (mais il est possible d’être moins débordé).

Dépasser la surconsommation

La surconsommation pèse sur notre mental à un point que l’on ne perçoit pas jusqu’à ce que l’on commence à ralentir, à consommer de façon plus adaptée à nos besoins.

Cela vous est déjà arrivé de vous rendre compte que vous avez acheté des trucs dont vous ne vous servez pas mais qui restent là, à prendre de la place chez vous ?

Moi oui !

Il est alors intéressant de se désencombrer et de porter plus d’attention à ce que l’on consomme dorénavant.

C’est notamment l’un des principes prônés par le minimalisme dont l’objectif est de faire de la place à l’important pour soi, en se désencombrant à tous les niveaux.

Mais pour cela encore une fois, il est nécessaire de se connaitre et améliorer votre estime ne peut qu’être bénéfique puisqu’alors, vous vous soucierez beaucoup moins du regard des autres et de leurs critiques.Vou serez également plus confiant (notamment dans vos choix et goûts).

Ce qui vous permettra ainsi d’adapter votre consommation à ce dont VOUS avez réellement besoin.

Comment dépasser la surconsommation pour consommer beaucoup plus en fonction de vos besoins, de ce qui est important pour vous ?

Vous pouvez vous poser ces questions :

  • Est-ce que j’ai vraiment envie d’acquérir ce truc ?
  • Est-ce que j’en ai envie simplement pour des questions d’apparence ? Pour faire en sorte que les gens pensent ceci ou cela de moi ?
  • Est-ce que j’ai réellement besoin de cette chose, ou est-ce un besoin superficiel qui se manifeste alors qu’un besoin bien plus profond demande à être comblé ?
  • Est-ce que cela va améliorer ma vie d’acquérir ce truc ? Comment exactement ?
  • Est-ce que je suis en train de me créer un faux besoin juste pour faire comme tout le monde en achetant cette chose ?
  • Ai-je réellement besoin d’une version plus récente de X ? Est-ce que X est réellement victime d’obsolescence ou est-ce juste mon ego qui veut la dernière version avec les fonctionnalités dont je n’ai pas réellement besoin ?
  • Pourrais-je employer cette ressource (argent, temps, etc.) à meilleur escient ?
  • Combien de temps je me donne pour tester ce service qui, il me semble, améliorera significativement ma vie ? (mettre une date sur l’agenda pour faire le point, et éventuellement annuler le service)
  • Quels autres trucs pourraient me procurer un résultat similaire à celui que j’attends de ce machin, à moindres ressources ? Est-ce que je n’ai pas déjà ce qu’il me faut ?

Et vous, portez-vous une attention particulière à votre consommation de biens, contenus et services ?
Comment faites-vous la distinction entre le superflu et l’important ?
Partagez-le dans les commentaires ci-dessous 🙂

La surconsommation fait partie des problèmes majeurs de nos sociétés car elle impacte négativement votre environnement mais aussi votre vie.
Si la consommation est nécessaire, trop consommer peut vous nuire.
Car trop veut dire qu’il n’y a pas équilibre entre ce dont vous avez besoin et ce que vous consommez, ce que vous dépensez comme ressources.
Vous pouvez compliquer grandement votre vie et vous ajouter du stress pour des questions de surconsommation, c’est-à-dire de consommation qui ne correspond pas à vos réels besoins, à ce qui est vraiment important pour vous : ceci vous est personnel et change au fil du temps. D’où l’intérêt de bien se connaitre et d’avoir une bonne estime, d’être au clair sur vos priorités.

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