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L’échec est une illusion : il n’existe pas

L’échec, nous y sommes tous plus ou moins confrontés au cours de notre vie. Pourtant, c’est une illusion. Il n’existe pas.

L’échec, c’est quoi ?

L'échec est une illusion, il n'existe pas

Parler d’échec c’est bien, savoir de quoi on parle exactement, c’est mieux.
Faisons d’abord appel au dictionnaire Larousse pour nous éclairer sur ce que l’on entend par là.

Le Larousse donc définit ce terme comme le :

Résultat négatif d’une tentative, d’une entreprise, manque de réussite ;
défaite, insuccès, revers

L’échec est donc souvent perçu comme quelque chose de négatif.
Généralement, subir un échec comme on dit est source d’émotions négatives.

Pourquoi ?

Parce que lorsque l’on fait face à un échec, cela signifie que l’on n’a pas atteint le résultat que l’on souhaitait. Que notre projet n’a pas abouti comme on l’envisageait, comme on l’espérait.

Du coup on est déçu. Triste. Déprimé peut-être.

L’échec peut aussi jouer sur notre estime personnelle.

Souvenez-vous, nos actes influencent notre estime de nous-même.

Donc si on a manqué un acte, échouer dans notre acte, alors on peut voir notre estime personnelle attaquée, diminuée.

Pourtant, cela n’a pas à être le cas.
C’est une possibilité.
Mais pas une conséquence 100% sûre et certaine.


 

L’échec est-il forcément négatif ?

L’échec n’entraîne pas systématiquement et automatiquement des émotions négatives longue durée. Il n’impacte pas forcément à la baisse votre estime personnelle.

Oui, c’est possible. Mais pas obligatoire.

Regardez. On parle de surmonter l’échec comme un obstacle à franchir pour aller de l’avant. A ce propos, il existe une célèbre citation du Président de la République Française François Mitterand :

La pire erreur n’est pas dans l’échec mais dans l’incapacité de dominer l’échec.

Cela veut dire quoi ? Que l’échec en est un uniquement si on reste focalisé dessus, au point mort.

L'échec est une illusion, il n'existe pas robot

Un peu comme un robot aspirateur qui va foncer contre un mur, reculer et foncer à nouveau dans le mur, se cognant inlassablement dessus au lieu de se retourner pour continuer d’aspirer le reste du logement.

OK c’est bien joli tout ça, mais comment on le domine alors l’échec ?!

L’objectif est en fait de changer notre perception de l’échec.

De ne plus le voir comme quelque chose de nécessairement négatif.

Oui, je sais, c’est super chiant de ne pas atteindre le résultat escompté.
C’est d’autant plus frustrant, énervant, déprimant que l’on investi beaucoup de nous-même pour atteindre ce résultat tant désiré, que ce soit en temps, en efforts, en argent…

Cela dit, l’échec, quand il est là, il est là.
Si vous estimez y faire face, cela veut dire que vous jugez que votre objectif n’est pas atteint, ou loin de l’être. Voire que c’est complètement foutu.

On peut toutefois partir du principe que l’échec n’est pas forcément négatif.
Mieux : qu’il nous aide.

Je vous explique.

Nécessaire au processus d’apprentissage ?

L’échec peut en fait être vu comme un élément nécessaire au processus d’apprentissage.
L’échec fait partie de l’apprentissage.

Il peut être nécessaire à l’évolution de l’individu, de vous, des autres, de moi.

Oui on peut apprendre sans échouer.
Mais sérieux, à qui ça arrive ça d’apprendre 100% du temps sans jamais échouer ?
Je n’ai pas trouvé d’exemple.
Je ne dis pas que ça n’existe pas.
Simplement que c’est sans doute assez rare. Vous ne croyez pas ?

Toujours est-il que si vous êtes là toujours en train de lire cet article :

  • Vous ne baissez pas les bras facilement. C’est un bon point pour affronter l’échec.
    Vous faites notamment partie des rares personnes à consulter du contenu « long »
  • L’échec pour vous c’est un souci, au moins dans une certaine mesure
  • Donc j’en déduis que : vous êtes persévérant, vous avez envie de progresser et il vous arrive tout comme moi d’échouer dans vos apprentissages

Bon. Cela posé, réfléchissez-y.
N’est-ce pas en échouant que l’on évolue, que l’on apprend ?

Souvent, échouer cela permet de mieux comprendre comment les choses fonctionnent.
Des fois on arrive à faire des trucs sans savoir comment on a fait.

Cela m’est déjà arrivé. En mathématiques.
Un devoir à faire à la maison, à rendre au prof.
J’avais rien compris au truc. J’ai rédigé mon devoir, fais mes calculs tout ça.
Je m’attendais à avoir une mauvaise note vu que j’avais pas compris grand-chose à ce que je faisais.
A ma grande surprise, le prof m’a remis mon devoir en lui accordant une bonne note (je sais plus si c’était 14/20 ou 17/20… on s’en fout en fait!)

Ce que je veux dire par là, c’est que cet expérience a été réussie.
Je n’ai pas échoué à mon devoir.
Pourtant, est-ce que cela m’a vraiment aidé ?
Pas vraiment vu que je n’ai toujours pas compris comment j’ai fait .
Pas saisi les principes sous-jacents (donc si j’avais du expliquer ou refaire, j’aurai été sans doute marron comme on dit).
C’est ennuyeux…

L’échec peut donc être nécessaire au processus d’apprentissage car alors, on va beaucoup plus chercher à savoir qu’est-ce qu’on a pu faire qui n’allait pas.
On se dira : comment faire mieux la prochaine fois ? (si on a cette opportunité).

L’échec peut également nous apprendre ce qui nous convient ou pas.
Peut-être qu’on a échoué dans un cursus, qu’on était super déçu.
Surtout notre ego car on prend souvent ça comme une défaite, et ce de façon personnelle, comme une attaque personnelle invisible de l’extérieur contre nous qui s’échine à nous empêcher de réussir (vilaine!).
On a alors peut-être bifurqué vers une autre voie qui nous convient mieux finalement.

L’échec d’un côté nous aura alors servi de l’autre.
Il peut donc être vu comme quelque chose de positif.

Et si on le mettait à notre profit ?

Et donc, si on mettait l’échec à notre profit puisqu’il peut être vu comme positif ?

De nombreuses personnalités ont d’ailleurs exprimé leur sentiment face à ce « problème » qui selon elles n’est pas si dramatique et même salutaire parfois.
Voici quelques citations inspirantes à ce sujet :

Le succès, c’est aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme.

Selon Winston Churchill (Premier Ministre du Royaume-Uni de 1940 à 1945), le principal, c’est d’aller au-delà de l’échec. De ne pas le laisser nous pourrir la vie.
Pour lui, l’échec fait partie du succès.

Seuls ceux qui prennent le risque d’échouer spectaculairement réussiront brillamment.

Dans le même ordre d’idée, Robert F. Kennedy (surnommé Bobby, politique américain assassiné en juin 1968) met en évidence le fait que si l’on ne tente rien, on n’a rien. Faire quelque chose, prendre des risques et donc se confronter à la possibilité de l’échec est inévitable pour réussir dans la vie.

Je préfère échouer sur quelque chose que j’apprécie qu’un succès sur quelque chose que je déteste

Ici George F. Burns (acteur, chanteur, écrivain américain) expose un constat : le chemin est beaucoup plus agréable si l’on agit sur quelque chose que l’on aime, même si on échoue au final, que sur quelque chose que l’on n’aime pas et que l’on réussit.

Je sais pas pour vous mais il m’est déjà arrivé à l’école d’avoir des notes inférieures dans les matières que je préférais, et des notes supérieures dans les matières que j’aimais moins. Ce qui ne modifiait en rien mes préférences.

J’ai raté 9000 tirs dans ma carrière. J’ai perdu presque 300 matchs. 26 fois, on m’a fait confiance pour tenter le tir de la victoire et j’ai raté. J’ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c’est pourquoi je réussis.

Voilà un exemple très inspirant livré par Michael Jordan (basketteur américain).
Certes il a connu le succès, mais c’est au prix de (très) nombreux revers et déceptions.
Sa persévérance et son attitude face à l’échec : ne pas abandonner, continuer dans cette voie, lui a ouvert les portes du succès.
En clair, ce n’est pas parce que vous échouez une fois que vous échouerez tout le temps dans un domaine.

Ces personnalités ont clairement pris le parti de faire fi de l’échec, de le mettre à leur profit pour progresser et de le voir comme une opportunité pour atteindre le succès.

Inspirant vous ne trouvez pas ?
Et si vous aussi vous adoptiez cette démarche, cette manière de voir l’échec, une façon pour vous de vous motiver à tendre vers le succès ?

Et si l’échec était une illusion ?

On évoque l’échec depuis le début et si vous avez lu le titre de cet article, vous avez à n’en pas douter remarquer que je dis clairement qu’il est une illusion et qu’il n’existe pas.

Pourquoi je dis ça alors que je ne fais que parler d’échec depuis le début ?

Parce que je le pense.
Du moins, j’essaye de voir les choses comme ça car ça permet d’avancer dans la vie.

L’échec est une illusion

Oui, l’échec n’est pas un échec.

Pensez à ça : l’échec, on le connaît potentiellement uniquement si l’on entreprend une action ou que l’on a entrepris une action précédemment ou que l’on a décidé un truc.

Par exemple :

– j’ai échoué à mon examen

– j’ai échoué à réaliser un soufflé au fromage

– j’ai échoué à monter ce meuble correctement

– j’ai échoué à dire ce que je pensais vraiment à trucmuche

– j’ai échoué à arrêter de m’enfiler une plaque de chocolat par jour

Donc si on ne prends pas de décision (arrêter de manger autant de chocolat) ou si on n’agit pas (passer un examen). Eh bien, on ne risque pas d’échouer.

Super. Et ça nous avance à quoi dans la vie le statut quo ?

Est-ce que vous en êtes là où vous êtes sans avoir jamais agi ou décidé quoi que ce soit ? Je suis sûre que non !

Rien que parce que vous êtes là à me lire.
Vous avez appris à lire, à comprendre le français, au moins un minimum.
Ça ne vous est certainement pas venu tout seul comme ça d’un coup d’un seul comme par magie dès que vous êtes sorti du ventre de votre mère.

On en aurait entendu parler sinon :

« Flash Info : un bébé tout juste sorti du ventre de sa mère exprime très clairement dans un français tout à fait compréhensible le fait qu’il n’apprécie pas d’avoir été dérangé, qu’il aurait préféré rester là où il était et qu’il n’aime pas du tout le look de ces gens qui le regardent ébahis avec leur masque sur la figure. Voici en exclusivité une interview du chérubin par…. »

Donc l’échec est nécessaire.
Il fait partie de l’évolution, de notre évolution, de votre évolution.
Vous ne pouvez pas y échapper à moins de ne rien faire et de ne rien décider ni penser.

Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10.000 solutions qui ne fonctionnent pas.

C’est Thomas Edison (inventeur de l’ampoule électrique) qui a dit cette célèbre phrase.
Comme quoi, l’échec n’est qu’une illusion. Il n’a certes pas atteint son objectif des milliers de fois. Pour autant, il a appris de ses erreurs ce qui lui a permis après de (très) nombreux essais de rencontrer le succès.

En fait, l’échec n’est pas l’échec.
Quand vous échouez, vous n’échouez pas vraiment.
Puisque vous avez agi, décidé, penser.

Vous réussissez bien plus que le type qui n’a pas agi. Pas décidé. Pas pensé.
Donc rencontrer l’échec, c’est gagner quand même en fait.
C’est avoir réussit au moins dans votre volonté d’aller de l’avant.
L’échec est une illusion.

Et si on modifiait notre vocabulaire ?

Et si maintenant on arrêtait de parler d’échec ?

Modifier notre vocabulaire peut nous aider à nous défaire de l’impression négative véhiculée par l’échec, et donc nous permettre d’aller de l’avant et d’aller mieux.
De moins rester bloqué sur notre déception. Moins fort. Moins longtemps.
Pour rebondir. Plus vite. Plus fort.

On pourrait donc arrêter de parler d’échec, d’utiliser ce mot, ou au minimum, de moins l’employer. Dans notre tête et dans nos paroles prononcées.

Car comme on l’a vu plus tôt : l’échec existe seulement si on a agit, décidé, pensé et implique donc une réussite dans le fait d’avancer.

En fait, vous n’échouez pas.
Vous ne faites que tenter. Essayer. Expérimenter. Entreprendre.

On n’échoue pas quand on tente.
Quand on essaye.
Quand on expérimente.
Quand on entreprend.

On gagne dans le fait d’aller de l’avant.

C’est cela qu’il faut retenir. Cette réussite.

C’est à dire que l’on a tenté/essayé/expérimenté/entrepris d’aller de l’avant, que certes ça ne s’est peut-être pas passé comme on le souhaitait mais qu’on a réussit tout de même cela.

Donc, modifier votre vocabulaire et remplacer « échec » par d’autres mots est une clé pour vous sortir de là, pour vous aider à aller de l’avant et ne pas rester bloqué comme le robot aspirateur ou sombrer dans les abysses de la dévalorisation (= estime personnelle dans les choux).

Dites-moi dans les commentaires ci-dessous, comment voyez-vous l’échec ?

L’échec, on y est tous plus ou moins confrontés. Souvent on le vit mal : cela peut diminuer notre estime et donc notre bien-être.
L’échec est cependant une étape souvent nécessaire à l’apprentissage et au succès.
De nombreuses personnalités en témoignent. L’échec est une illusion : on réussit rien que dans le fait d’effectuer un premier pas pour aller de l’avant. L’échec n’existe pas.
A ce sujet, remplacer le mot « échec » par un vocabulaire plus positif est d’une grande aide dans la vie de tous les jours.

(crédit photo : iRobot)

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4 Comments

  1. Taha

    Merci pour cette vidéo très motivante et instructive ! Le meilleure moyen d’avançer est d’accepter de prendre des risques et d’apprendre de nos expériences. Commencer petit et doucement peut aider à mieux gérer le sentiment d’echec.

  2. Marine

    Bonjour @taha

    merci pour ton commentaire 🙂
    effectivement souvent « on n’a rien sans rien » comme on dit et rester dans le statut quo ne nous permet pas d’avancer.
    Chacun peut le faire à son rythme en prenant conscience que l’on peut apprendre de toutes les expériences, notamment celles jugées a priori « négatives », ce qui permet de dépasser la sensation d’échec 😉

    Bon week-end 🙂

  3. Samuel

    Bonjour, le problème avec l’échec c’est quand il se reproduit encore et encore, comme un malédiction, les mêmes causes produisant les mêmes effets. Il y a visiblement un élément inconscient ou pas bien vu pour cette répétition d’échecs. Et la ça peut rendre dingue.

  4. Marine

    @samuel : Bonjour !

    tout à fait Samuel, on peut tomber encore et encore dans la même situation vue comme un échec sans en déceler la cause sous-jacente.

    La première chose, c’est de réaliser évidemment que l’on enchaîne les « échecs ».
    Ensuite de se poser pour voir s’il pourrait y avoir un ou plusieurs éléments récurrents qui pourraient expliquer ces « échecs ».
    Et d’appliquer des modifications dans sa façon de faire pour enrayer ce cercle vicieux.

    Excellente journée à toi Samuel, merci pour ta contribution 🙂

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