Menu Fermer
Envie de vous sentir mieux dans
votre peau
pour être plus heureux ?
Et recevez ma formation (offerte !)
qui vous donne les clés pour
améliorer votre vie
Temps de lecture moyen : ~ 8 minutes
Bonjour ! Si ce n'est pas déjà fait, vous voudrez peut-être vous procurer le livret Cadeau :
« TADÉA, méthode pour fixer et atteindre vos objectifs »
Cliquez ici pour le télécharger gratuitement
Merci de votre visite et bonne lecture :)

Des contraintes pour être plus libre

Les contraintes ont mauvaise réputation. Pourtant, elles peuvent paradoxalement nous aider à être plus libre.

Contraintes

Des contraintes pour être plus libre

Des qu’on évoque les contraintes, beaucoup ont une réaction de recul.

Les contraintes sont souvent perçues négativement.

Et c’est logique en un sens si l’on s’en réfère à la définition donnée de la contrainte par le dictionnaire Larousse :

Action de contraindre, de forcer quelqu’un à agir contre sa volonté ; pression morale ou physique, violence exercée sur lui ;
Obligation créée par les règles en usage dans un milieu, par les lois propres à un domaine, par une nécessité, etc.
État de gêne de quelqu’un à qui on impose ou qui s’impose une attitude contraire à son naturel, à son penchant.

La contrainte est ainsi souvent associée au fait d’être forcé à faire quelque chose, d’aller à l’encontre de ce que l’on souhaite.

Elle est aussi liée à l’obligation et cela nous amène à percevoir la contrainte comme une privation de nos libertés.

De notre liberté d’agir.

De notre liberté de choisir.

Et même de notre liberté d’être…

Les contraintes sont aussi souvent ressenties comme une entrave.

Elles sont comme un désagrément que l’on subit.

Si les contraintes sont très souvent vues de façon négatives, elles sont pourtant nécessaires.

Et on oublie trop souvent cet aspect.


 

Nécessité des contraintes

Ainsi, qu’arriverait-il aux enfants dès le plus jeune âge si les adultes de leur entourage ne leur imposaient pas de contraintes ?

Sans doute pas mal de soucis et de malheurs…

Les contraintes peuvent donc être nécessaires pour protéger.

Protéger l’enfant de son ignorance des choses dangereuses pour lui.

Comme de mettre un système pour qu’il ne puisse ouvrir le placard contenant des produits toxiques.

Ou de le mettre dans un parc pour qu’il joue en toute sécurité alors que vous allez aux toilettes.

Comme le fait aussi de lui faire manger des aliments variés, notamment des légumes, et pas seulement des pâtes, du jambon, de la purée et du steak haché.

Peut-être vous rappelez-vous d’ailleurs que vous n’aimiez pas cette contrainte de devoir vous forcer à manger certains aliments.

Mais sans doute aussi que vous percevez maintenant que ce n’était pas contre vous, mais pour vous.

Il existe également des tas de contraintes réglementaires, comme des normes d’électricité pour éviter des dégâts électriques, court-circuit et autres.

Et même des contraintes de comportement en société dictées par la loi.
Par exemple, le fait de ne pas se balader en slip dans la rue même s’il fait chaud.
Certes, cela entrave votre liberté, mais cela sauvegarde la sensibilité des autres.

Des contraintes peuvent ainsi nous être imposées dans l’optique du bien-vivre en société. Avec les autres. Il s’agit en quelques sorte de mettre des contraintes pour le bien-être, la protection, le respect de chacun…

Les contraintes ne sont donc pas toutes mauvaises.
(Même si oui, certaines peuvent être bien casse-bonbon !)

Et au lieu de les percevoir négativement, vous pouvez retourner la situation à votre avantage et utiliser les contraintes à votre propre bénéfice.

Des contraintes pour soi-même

Si les contraintes imposées par les autres sont généralement désagréables, cela ne veut pas dire qu’elles doivent tout le temps l’être.

Et que seuls les autres peuvent décider de contraintes qui s’appliquent à nous.

On peut notamment utiliser les contraintes pour soi-même.

S’imposer soi-même des contraintes.

Alors vous allez peut-être me dire que vous n’en n’avez pas envie.

Que vous avez déjà bien assez de contraintes imposées par les autres.

Et que vous n’allez pas en plus vous embêter (pour être poli) à vous mettre vous-même des contraintes.

Je comprends.

Et d’un autre côté, ce serait quand même bien dommage de vous en passer alors je vous invite à lire la suite pour vous faire une idée.

Libre à vous ensuite d’en faire ce que vous voulez 😉

Pour soi-même, on peut voir les contraintes comme un cadre.

On se fixe un cadre dans lequel évoluer.

On évite ainsi de se disperser.
Mais le cadre, on se donne le droit de l’explorer et de le bousculer.

On se fixe des règles, des principes de vie.

Pour éviter de dérailler.
Et on teste ces règles, ces principes.
On les interroge régulièrement. On les modifie au besoin.

En fait, vous vous fixez sûrement déjà des contraintes.

Comme celle d’être à l’heure au boulot pour éviter le licenciement.

Ou peut-être celle de poster un truc tous les jours sur les réseaux sociaux.

Peut-être aussi celle de faire à manger à une certaine heure pour pouvoir mettre au lit les enfants assez tôt puisqu’ils puissent avoir suffisamment d’heures de sommeil.

Etc.

En fait plus souvent qu’on ne le pense, on se met déjà des contraintes soi-même.
Et parfois, c’est inconscient !

Demandez-vous :

  • Quelles sont les contraintes que vous vous mettez déjà à vous-même ?

Des contraintes pour être plus libre

Si vous avez répondu à la question, peut-être que vous vous rendez compte que vous vous mettez plus de contraintes que vous ne l’auriez pensé à la base.

Et si vous utilisiez de façon consciente les contraintes à votre propre bénéficie ?

Et notamment pour être plus libre ?

Peut-être que vous pensez que contraintes et liberté sont incompatibles.

Mais ça n’a pas à être le cas si vous le décidez.

Si vous décidez d’utiliser vous-même la contrainte pour votre liberté.

  • Pourquoi voulez-vous être libre ?
  • Pour quoi voulez-vous plus de liberté ?

Est-ce pour avoir plus de temps ?

Plus d’argent ?

Une meilleure santé ?

Allez-y, prenez un papier et un crayon et écrivez pourquoi / pour quoi vous voulez être plus libre et avoir plus de liberté.

C’est fait ?

Super !

Maintenant demandez-vous comment les contraintes pourraient vous aider dans votre quête.

  • Quels cadres pourriez-vous mettre à un ou plusieurs domaines de votre vie pour vous aider ?
  • Quelles règles / principes de vie pourriez-vous adopter pour vous donner plus de chance ?

Vous mettre vous-même des contraintes augmente votre potentiel de liberté.

Par exemple, vous poser la règle de faire de l’exercice physique tous les jours peut vous aider à être en meilleure santé. À être plus libre de vos mouvements, plus libre de faire ce que vous voulez.

Vous poser un cadre comme quoi vous consultez e-mails et réseaux sociaux entre telle heure et telle heure (une amplitude moins importante qu’actuellement) peut vous permettre de mieux vous concentrer. D’avancer plus vite dans vos projets. Et donc d’avoir plus de temps ensuite.

Vous voyez le topo ?

Des contraintes au service de votre vie

Vous pouvez vraiment utiliser les contraintes au service de votre vie.

Ces contraintes – qui peuvent prendre par exemple la forme de règles, de cadres, de principes – vous libèrent.
Pour peu bien sûr que vous les mettiez à votre profit.

Si vous voulez être plus libre et pour ça avoir plus d’argent, vous mettre comme cadre de dépenser uniquement l’argent que vous avez (= vos rentrées d’argent) peut être un bon départ si vous êtes régulièrement dans le rouge.

Dans le même domaine, vous pouvez également poser des principes pour mieux gérer votre argent afin de ne pas vous retrouver en état de stress dès qu’une dépense imprévue se pointe (ex : réparation de voiture).

Oui cela passe par des contraintes.

Mais c’est parce que vous vous mettez des contraintes que vous parvenez à atteindre vos objectifs.

Comme le fait de manger moins de sucre, de gras, de plats préparés pour perdre quelques kilos. Ce qui améliore votre santé et vous rend plus libre de votre corps.

Les contraintes peuvent augmenter votre zone tampon.

C’est quoi me direz-vous la zone tampon ?

C’est le temps que vous avez en plus de tout ce que vous faites.

En gros, votre temps libre qui vous permet de faire les tâches à un rythme moins stressant, de ne pas courir tout le temps d’une tâche à l’autre, de pouvoir saisir une opportunité quand elle se présente.

Tout ça parce que vous avez une marge de manœuvre en matière de temps.

Des contraintes en pratique avec Parkinson

Et cette marge de manœuvre, cette zone tampon, vous pouvez vous la créer grâce à des contraintes.

Par exemple en vous appuyant sur loi de Parkinson. En vous donnant une durée limitée pour faire une tâche.

Rien qu’en utilisant cette contrainte, ce cadre de la loi de Parkinson, vous pourrez vous dégager du temps.

Par exemple, vous avez 3 heures de temps disponible.

Vous décidez de passer l’aspirateur et la serpillière et que ça doit vous prendre au maximum x temps (à vous de voir selon votre logement, par exemple 1h). Ainsi qu’à commander vos courses au drive, tâche que vous prévoyez de faire en maximum 20 minutes. Alors qu’habituellement, il vous faut pour les deux au moins 1h30.

Soit 10 minutes de rab.

Il vous reste donc 1h40 (3h – 1h20).

Ces 1h40, soit vous pouvez les bourrer avec plein de trucs de votre liste de tâches comme vous le faites peut-être d’habitude.

Soit vous pouvez décider de les laisser libres pour l’imprévu, pour passer du temps avec vos enfants, pour vous, pour bouquiner, etc.

Soit un mix des deux.

Oui vous avez sans doute plein de choses à faire et vous n’avez pas de temps à perdre.

Mais vous pouvez faire des choix.

Mettre des contraintes sur votre liste de tâches. En avoir moins par exemple en définissant mieux vos priorités, ce qui est important pour vous.

Vous pouvez vous mettre des contraintes, cadres, principes qui régissent votre vie pour la mener dans la direction que vous souhaitez.

Si votre vie n’est pas celle que vous voulez actuellement, vous devez changer des choses.

Car comme le disait Albert Einstein :

La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent

Testez les contraintes, adoptez une discipline de vie pour maintenir ces contraintes, ce cadre, ces principes, ces règles de vie.

Appuyez-vous pour cela sur des habitudes et routines.

Et vous verrez qu’au fur et à mesure, paradoxalement avec plus de contraintes – que vous choisissez de vous imposer – vous vous créerez plus de liberté.

Et vous vous sentirez mieux dans votre vie.

Quelles contraintes pouvez-vous mettre en place dans votre vie pour vous aider à obtenir ce que vous voulez ?
Partagez-les dans les commentaires ci-dessous 🙂

Les contraintes ont mauvaise réputation car elles sont souvent associées aux obligations, au fait d’être forcé à faire quelque chose.
Or les contraintes peuvent paradoxalement être utilisées à votre profit pour vous offrir plus de liberté.
Pour cela, vous devez définir vos propres contraintes.
C’est à dire des principes, cadres, règles de vie, habitudes, routines…
Et cela en fonction de ce que vous voulez obtenir. De la direction que vous souhaitez donner à votre vie.
Puis maintenir ces contraintes sur la durée grâce à la discipline.
C’est ainsi que vous pourrez obtenir des résultats massifs. Et notamment être plus libre.

Si ce n'est pas déjà fait, vous voudrez peut-être suivre ma Formation Offerte pour vous sentir mieux dans votre peau pour être plus heureux.
Composée de 8 cours par e-mail, elle vous donne les clés pour améliorer votre vie au quotidien
Cliquez ici pour commencer maintenant la formation
(pour être moins stressé, savoir dire "non",
prendre soin de vous, etc.
)

1 Comment

  1. Loua

    Je suis à moitié confient à travers vos raisonnements formelles et commodes qui font preuve de constance opérationnelle.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

 

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.