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Distinguer qui vous êtes de ce que vous faites (mais pas que)

Trop souvent on se gâche l’existence parce que l’on assimile notre personne avec tout un tas de choses qui nous limitent et impactent négativement notre estime et notre bonheur. Distinguer est alors une clé.

Qui nous sommes

Distinguer qui vous êtes de vous faites (mais pas que)

Qui nous sommes est un vaste sujet.

Nous sommes des êtres humains, forgés par notre ADN, notre vécu (expériences, environnement, etc.), nos croyances.

Pourtant, nous avons tendance à nous limiter inconsciemment dans notre évolution.
Dans notre parcours de vie.

Des études ont également montré que notre cerveau est fait d’une telle façon que l’on a tendance à faire des amalgames.

Mais aussi à rapidement trouver une justification à un truc que l’on expérimente.

Ou à vite poser un jugement sur une chose.

Plus que le fait de nous limiter, cela peut nous faire croire que l’on n’est pas assez.

Alors que si, nous sommes assez.

Vous êtes assez 🙂

Notre cerveau nous pousse aussi à percevoir bien plus le négatif que le positif.

Si on n’y prend pas garde, cela peut être un frein pour reconnaître le bonheur quand il est là.

Car cela peut nous pousser à croire que nous sommes plus malheureux que nous le sommes en réalité.

Le problème que je souhaite aborder ici est surtout est la tendance à limiter qui nous sommes à certains aspects de nous-même.

Cette tendance peut faire que vous allez vous juger de façon extrêmement dure.

Ce qui va entacher votre estime personnelle alors qu’elle représente le socle de votre bien-être et donc de votre bonheur.

Vous allez vous donner des attributs.
Vous mettre dans des cases.

Et vous limiter à ces attributs et ces cases, souvent négatifs, alors qu’ils ne vous représentent absolument pas.


 

Ce que vous faites

Ainsi, on peut avoir tendance à se confondre avec ce que l’on fait.

Parce qu’à partir d’une situation, parfois unique, on va tirer une conclusion hâtive et ferme sur nous-même qui nous limite.

Par exemple à l’école, on peut avoir eu plusieurs mauvaises notes en anglais et se dire « je suis nul en anglais ».

Ou encore remarquer que l’on n’a pas agi de la meilleure des façons dans telle situation et se dire « je ne suis pas gentil » ou « je suis vraiment en dessous de tout », etc.

Ou bien on va se mettre à chanter et… quelqu’un nous fera une remarque comme quoi on n’a pas la plus belle voix du monde et on va se dire « je suis mauvais en chant ».

Ou encore on va glisser sur une banane par terre et se dire « je suis malchanceux ».

En clair on va se dire : « je fais ça alors je suis comme ça ».
« Je ne fais pas assez alors je suis/ne suis pas comme ceci ».

Ainsi, on créé des croyances limitantes qui vont avoir un impact considérable sur notre vie.

Et généralement nous enfermer dans des cases.
Limiter notre champ d’action, notre perception de ce qu’il est possible pour nous de réaliser.

Surtout, on va s’assimiler à des attributs négatifs ou du moins pas franchement en notre faveur.

Évidemment, cela va nourrir un sentiment de dévalorisation, souvent sans même qu’on s’en rende compte.

D’où le fait que de très nombreuses personnes vivent sans se rendre compte que leur estime est dans les chaussettes.

Alors que si elles en avaient conscience, elles pourraient l’améliorer et être plus heureuses.

Ce que vous ressentez

Ce que l’on ressent aussi peut avoir des impacts négatifs sur notre vie.

Pas juste parce que ça peut nous bloquer ou nous mettre dans des états pas possible.

Mais aussi là encore parce que l’on va s’enfermer dans des croyances limitantes qui peuvent littéralement nous pourrir la vie.

On va ressentir de la gêne, de l’appréhension dans une certaine situation.
Par exemple parce qu’on est impressionné par le fait de rencontrer quelqu’un de célèbre.
Et se dire alors « je suis timide ».

On va avoir peur de faire comme les copains à l’école qui font un truc que les parents ont qualifié de dangereux et se dire « je suis froussard ».

Les émotions négatives ne sont pas agréables à ressentir.
Pour autant la plupart du temps, ce ne sont pas elles le vrai problème.

Les émotions négatives peuvent en tous les cas dicter de nombreux choix dans nos vies.

Surtout, si on n’y prend pas garde, elles peuvent elles aussi nous enfermer dans un carcan invisible.

Un carcan qui nourrit la dévalorisation et peut nous diriger vers une vie qui ne nous convient pas.

Un carcan qui favorise aussi le fait que l’on va porter un masque, jouer un rôle plutôt que d’être nous-même.

Parce qu’on se dit que l’on est comme ceci et comme cela.
Alors on va, souvent inconsciemment, se conformer à ça dans notre vie.

Parce que les émotions que l’on ressent et les actes que l’on a accompli nous ont fait croire que l’on n’était pas assez.

Pas assez bien, pas assez bon, pas assez courageux, pas assez intelligent, etc.

Le fait est que l’on se créé soi-même une prison dont l’on a du mal à s’en sortir ensuite. D’autant plus si l’on ne se rend pas compte que l’on s’est créé une prison…

Distinguer ce que vous êtes de ce que vous faites

En fait le problème est de confondre tout ce que l’on peut percevoir par nos sens, tout ce que l’on peut ressentir, faire, penser avec ce que l’on est.

Nous sommes bien plus que la somme de tout ce que l’on fait, ce que l’on dit, ce que l’on ressent, ce que l’on pense, ce que l’on a vécu.

Mais on a tendance à se marquer comme avec un tampon au fer rouge, à se coller des étiquettes négatives.

On laisse de petites parties de notre vie définir qui nous sommes.

Il est vraiment alors important de distinguer ce que vous êtes, en tant que personne à part entière, dans votre totalité, de ce que vous faites, de ce que vous ressentez, de ce que vous vivez.

Ce n’est pas facile, ça ne se fait pas d’un claquement de doigt.

Mais cela peut vous aider à ne plus tomber dans une spirale d’auto-flagellation où votre estime est la première victime ce qui se répercute inévitablement sur votre bonheur.

Comment faire ?

Eh bien déjà, améliorez votre estime, c’est capital.

Vous aurez alors beaucoup plus de munitions pour distinguer qui vous êtes de tout ce que vous pouvez vivre, percevoir.

Ensuite, modifiez votre langage.

Distinguer ce que vous êtes de ce que vous faites : le langage

On oublie à quel point il est important et pourtant, le langage forge notre pensée, notre réalité.

Pour distinguer ce que vous êtes de ce que vous faites afin de ne plus vous laissez enfermer dans un carcan qui vous bride, mine votre moral et vous fait vous sentir mal dans votre peau : changez la façon dont vous dites les choses, dont vous les pensez.

Cela ne se fait pas du jour au lendemain mais vous verrez qu’avez de la persévérance, vous vous améliorerez au fil du temps.

Comment faire ?

Eh bien le truc c’est d’éviter de se coller une étiquette pour des trucs que l’on juge négatifs.

Et donc limiter l’emploi du verbe « être ».

Par exemple, au lieu de dire « je suis timide », vous pourriez dire « dans cette situation là, j’éprouve de la timidité/de la réserve ».

Au lieu de dire « je suis peureux » vous pourriez dire « je ressens de la peur dans tel cas ».

Ou au moins acter après coup que ce n’est pas parce que vous avez « mal agi » que vous êtes une mauvaise personne.

Que ce n’est pas parce que vous avez eu peur dans telle situation que vous êtes un froussard.

En espagnol par exemple, ça semble plus simple car il est prévu de distinguer le verbe être. Alors qu’en français on a uniquement le verbe « être », en espagnol ils en ont 2 traduits par « être ».

Ce sont les verbes « ser » et « estar ».

Le verbe être « ser » est utilisé pour les caractéristiques, pour des choses certaines, permanentes.

Le verbe être « estar » est lui plutôt utilisé pour des trucs temporaires.

Par exemple, on va dire « je suis malade » (ex : rhume) avec le verbe « estar » et je vais dire « je suis Marine » avec le verbe « ser ».

En conséquence, on ne confond pas le fait être malade avec le fait d’être tout le temps en permanence malade.

En revanche, le fait que je m’appelle Marine est un fait (mes parents ont choisi ce prénom pour moi, il est inscrit sur mes papiers officiels) qui est lié à ma personne.

Donc distinguer ce que vous êtes de ce que vous faites est primordial pour ne pas vous enfermer dans des croyances limitantes.

Pour vous donner la possibilité d’évoluer positivement, pour vous ouvrir à plus de possibilités dans la vie.

Et donc à une meilleure vie, plus heureuse.

Et vous, parvenez-vous à faire la distinction entre ce que vous êtes et ce que vous faites, ressentez ou pensez ?
Partagez votre expérience dans les commentaires ci-dessous 🙂

Dans la vie on a trop souvent tendance à se mettre des bâtons dans les roues. À tirer une conclusion définitive sur une ou quelques occurrences d’une même chose.
Ce qui fait que l’on va avoir tendance à confondre qui l’on est avec ce que l’on fait, ce que l’on ressent, ce que l’on pense.
Or cela a souvent pour effet de vous enfermer dans des carcans qui peuvent rabaisser votre estime, vous faire vous sentir mal, vous faire penser que vous n’êtes pas assez. Et donc miner votre bonheur tout en réduisant votre champ de possibilités, votre bonheur.
Distinguer ce que vous êtes de ce que vous faites, ce que vous dites, ce que vous ressentez, ce que vous pensez est donc intéressant pour ne plus vous construire une prison mentale.
Pour cela, vous pouvez améliorer votre estime et modifier votre langage, que ce soit à haute voix ou dans votre tête.

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